Alors me voilà, à la place du mort, en train de décider que les choses devaient changer. J’ai pris un carnet et j’ai noté tout plein de bonnes résolutions. Tu sais, tous ces points négatifs que l’on veut changer. Tout ce qui ne va pas en nous que l’on doit résoudre. Tout ce qu’on a mal fait jusqu’à présent que l’on doit corriger.
Sur le coup, je me suis sentie plus légère. J’avais des objectifs. Je pouvais enfin réussir à être heureuse.
Les mois ont passé et j’ai travaillé dur pour tenir mes engagements. Est-ce que j’en suis ressortie plus heureuse ? Non ! Car mes bonnes résolutions n’avaient de « bonnes » que leur nom.